xMosuke
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Date d'inscription : 20/06/2014
 | | Sujet: Vice Amiral Knuckle au Poing de Diamant Jeu 3 Juil - 20:55 | |
| IDENTITÉ DU PERSONNAGE  • Nom : Brillant
• Prénom : Knuckle
• Surnom : Diamond Knuckle
• Sexe : Homme
• Âge : 27
• Originaire de : Water Seven
• Aime : Les diamants, chose qui brille
• Déteste :Les pirates, la glace
• But : Faire régner la justice
• Camp : Marine [Vice Amiral] CAPACITES
Fruit du Démon : Le Daiya Daiya no mi est un Fruit du Démon de type Paramecia, dont le nom est encore inconnu. Il permet à son utilisateur de recouvrir son corps de diamant, le diamant étant le matériau le plus solide, il possède une défense quasi impénétrable. Knuckle utilise ce Fruit pour augmenter sa défense mais peut aussi l'utiliser à des fins offensives.  Brillant Punk (??????·???, Buririanto Panku) : Knuckle fonce et frappe son ennemi à toute vitesse avec son coude diamantisé. Ceci est utilisé pour la première fois contre Crocodile.  Autres Capacités : Knuckle est un adepte du Busoshoku no Haki ce qui lui vaux le surnom de Knuckle au Poing de Diamant. Cette capacité lui permet d'imprègner du haki dans n'importe quelle partie de son corps afin de renforcer son attaque mais aussi pour se défendre et de réduire les dégats. Cela est semblable au Tekkai mais le Busoshoku agit seulement sur plusieurs parties et non le corps en entier Busoshoku : Koka (?? ? ??, Buso - shoku : Koka, Couleur de l'armement : Durcissement) : Cette technique utilise le Busoshoku no Haki pour durcir le corps (ou certaines parties de celui-ci) ou l'objet que l'utilisateur détient. Elle a d'abord été vue utilisée par Monkey D. Luffy, en combinaison avec son Gear Third pour terrasser le Kraken. Quand un corps, une partie du corps ou un objet est durcit, il devient noir et bien plus dur. Jusqu'à présent, Luffy, Vergo, Smoker, Zephyr, Chinjao, Garp, Sabo et Jésus Burgess ont été vus l'utiliser. Zephyr a reçu le surnom de "Bras Noir" en raison de sa maîtrise de celui-ci. Il peut également être diffusé au armes, comme Vergo avec son bâton de bambou   Fluides : -Busoshoku no Haki [Haki de l'Armement] : Le Busoshoku no Haki, Haki de l'Armement ou Fluide Combattif : Cette forme de Haki crée une armure invisible qui permet de toucher les personnes ayant mangé un Fruit du Démon de type Logia, ou autre, et de contrer les attaques. Il permet également d'augmenter la puissance des armes ainsi que les coups.  -Kenbunshoku no Haki [Haki de l'Observation] : Le Kenbunshoku no Haki (??????, Kenbun-shoku no Haki) ou Haki, Couleur de l'Observation ou Sensitif, permet à ses utilisateurs d'anticiper les mouvements de son adversaire, il permet aussi de détecter la présence et la localisation d'une personne.  Rokushiki : -Rankyaku  -Shigan  -Soru  -Geppou :  PHYSIQUE Knuckle est un homme musclé, il porte un smoking bleu avec une cravate blanche comme tous les Vice Amiraux ainsi qu'une veste blanche avec des épaulières. De nombreux cigares sont attachés à la veste dans lequel le kanji pour "justice" (??, Seigi) est écrit à l'arrière de celui-ci. Il porte également une ceinture marron et des chaussures blanches assorties à son smoking.
Ses cheveux sont d'une tonalité bleue, une cicatrice était visible sur le côté droit de son torse à cause de ses nombreux combats. Il est musclé et possède une agilité hors pair
MENTALE
Knuckle est sévère et dominateur dans son travail. Contrairement à la plupart des haut-gradés de la Marine, il ne prône pas la " Justice Absolue " mais préfère avoir son propre sens de la justice.
Knuckle est également un grand consommateur de cigares. Il en fume toujours simultanément deux et en porte un grand nombre dans sa veste.
Bien qu'il semble strict avec ses subordonnés, il sait faire preuve d'amabilité et de gentillesse. Il n'hésite d'ailleurs pas à le dire crûment à ses supérieurs, allant jusqu'à les insulter !
Tout cela rend le personnage de Knuckle bien plus sympathique et amical que la plupart des autres du Gouvernement.
Knuckle n'hésite pas à risquer sa propre vie pour sauver celle de ces Soldats, il déteste lorsqu'on s'en prend a ses hommes.
HISTOIRE
Je suis né orphelin.
A Water Seven, il y a 26 ans. On m’a raconté que je suis né un matin de printemps, sous tempête féroce et dévastatrice. Les flots balayaient tout ce qui ce mettait entre leur chemin. C’était comme si les dieux avaient voulu ce faire annonciateur de ce que serait ma vie, une longue succession d’évènements difficiles, un avenir obscurci par les ténèbres. Lors de ma naissance, mon père n’était déjà plus. L’appeler « père » aurait été un bien grand mot. On m’a dit qu’il était un noble du Royaume de Goa, qu’il a violé ma mère et qu’il l’a abandonné comme une vieille chiffe sale. Je n’ai jamais connu ma mère non plus. Quelques minutes après ma naissance, sans même avoir pu me prendre dans ses bras une seule fois, elle mourut d’une hémorragie importante. Gray Terminal était un véritable trou à rat, aucun médecin dans les parages et pas suffisamment de temps et d’argent pour aller en chercher un en ville, la vieille sage-femme qui l’avait accueilli dans son établissement l’avait laissé crever comme une vagabonde. Dès ma naissance je m’étais donc retrouvé orphelin.
J’ai grandi seul, sans parents ni famille. Dès que je fus en mesure de quitter la nurserie de l’hôpital, on me plaça dans un orphelinat avec des dizaines d’autres enfants dans la même situation que moi. Et ainsi débuta ma misérable vie.
J’ai 8 ans. Voici enfin ma famille.
C’est à cet âge que ma vie fut marquée de son plus gros changement. Si on m’avait dit ce matin-là que ma vie changerait, je ne l’aurais jamais cru. Mais pourtant, cela se produit. Par un matin d’automne comme tous les autres, un groupe d’individus s’étaient présenté, dans l’espoir de repartir avec un nouvel enfant à élever comme le leur. Chaque fois que cela se produisait, nous espérions tous pouvoir partir. Mais jusqu’à présent, je n’avais jamais été l’heureux élu. Pourtant, chaque soir avant d’aller au lit, je priais de toutes mes forces, pour quiconque pouvait bien les entendre. Jamais je n’avais aimé ma vie là-bas à l’orphelinat. J’étais plus petit que les autres, moins robuste et surtout moins endurant. Chaque fois qu’on jouait au pirate, j’étais celui que les autres s’amusaient à pourchasser et à tabasser. Heureusement, à cette époque, je possédais une joie de vivre incroyable. Malgré toutes les épreuves et tous les coups que je recevais, je me relevais toujours avec un sourire, prêt à affronter n’importe quel danger. Mais malgré ça, je rêvais de quitter cet endroit, partir loin de ces autres enfants tellement cruels.
Lors de l’inspection, nous étions tous en rang, les uns à côté des autres. En milieu de ligne, je ne pensais pas réellement avoir mes chances. Comme toutes les autres fois, je m’attendais à rester bredouille, seul et sans famille. Ils étaient trois à avoir pénétré dans l’enceinte de la grande salle pour venir nous chercher. Le premier était beaucoup plus âgé que les autres et semblait être la figure d’autorité, ses deux compagnons semblaient le craindre. Il était plutôt grand et son visage était recouvert de bandage sur toute sa partie droite. Il ne m’inspirait pas confiance. Les deux autres, même s’ils étaient tout aussi placides et froids que leur chef, me semblaient déjà moins intimidants et plus joviales. Il s’agissait d’un homme et d’une femme. Elle avait des cheveux blonds très courts et une carrure plutôt frêle, tandis que lui était roux, grand et costaud. C’est la jeune femme qui nous inspecta d’abord. Elle parcourut la ligne d’enfants de long en large, en nous observant minutieusement, comme si elle nous cherchait des poux. « C’est trois là, vous pouvez les renvoyer. Ils n’ont pas ce qu’il faut. » avait-elle dit à la maîtresse des lieux une fois terminé en indiquant trois jeunes enfants. Puis, ce fut autour de grand costaud de prendre la relève. Il plaça une main au-dessus de nos têtes et il sillonna la ligne de long en large, comme s’il sondait nos esprits par le biais d’une magie invisible. Une fois l’inspection terminée et les nouveaux exclus renvoyés, il ne restait plus que trois enfants : Moi, Akio et Rukia. « Parfait, nous prenons ces trois-là. » dit l’homme aux bandages en tendant une bourse pleine à la vieille propriétaire de l’orphelinat. Et ainsi je rejoins ma nouvelle famille. J’étais loin de me douter qu’en quittant ce lieu que je haïssais temps, je me retrouverais projeter dans un monde nouveau, un monde qui me rendrait plus fort. Mais qui me ferait également perdre mon humanité.
J’ai 12 ans. Me voici guerrier.
Si seulement j’avais su ce qui m’attendait. Si on m’avait dit, ce jour-là, qu’en quittant l’orphelinat j’allais me retrouver dans les tréfonds de Grand Line, dans un endroit où mêmes les autorités n’osent pas s’aventurer, je serais bien resté là-bas…Dès que nous arrivâmes sur place, ils nous mirent en ligne encore une fois, nous mettant à genou un à un. L’homme avec les bandelettes autour de la tête s’approcha de moi et posa deux doigts sur mon épaule. Je sentis une agréable sensation de chaleur…qui se transforma très rapidement en un tourment de douleur. Bientôt, ce fut mon bras tout entier qui me brûlait, puis tout mon corps. J’avais l’impression qu’il venait d’allumer un brasier à l’intérieur de moi. Une fois qu’il eut effectué la manœuvre sur les trois enfants, il s’était adressé à nous d’une fois froide et menaçante. « Maintenant, vous êtes à moi. Vous vivrez pour servir le Gouvernement, coute que coute. Si jamais vous trahissez notre cause ou si vous reniez ce que j’ai fait pour vous, la douleur que vous venez de ressentir vous paraîtra bénigne en comparaison des tourments et de la mort qui vous attends en nous trahissant. » Il quitta par la suite la pièce en compagnie de l’autre garçon plus costaud, nous laissant seul avec la jolie jeune dame. Elle se positionna derrière nous et nous flanqua tour à tour un coup de poing derrière la tête. « Répétez après moi : « Maître Kaito nous protège. À sa lumière, nous nous épanouissons. Dans sa bienveillance, nous nous réfugions. Devant sa sagesse, nous nous inclinons. Maître Kaito nous guide. Nous existons pour le servir et nos vies lui appartiennent. » Tel était le serment qu’elle nous fit apprendre par cœur…et réciter tous les jours jusqu’à encore aujourd’hui.
Dès le lendemain, notre formation débuta. Non seulement j’appris à devenir plus fort en développant mes capacités physiques, mais on m’enseigna aussi à ne plus ressentir mes émotions. Kaito nous disait que les émotions nous conduisaient à commettre des gestes irrationnels, pouvant souvent mettre en péril nos missions et s’avérer fatal en situation de danger. Nous ne pouvions plus aimer ou montrer notre affection, car l’amour et l’amitié nous rendait faible. Nous ne pouvions plus avoir peur et montrer notre souffrance, car il s’agissait de puissants outils pour nos ennemis. Nous ne devions faire preuve d’aucune pitié, même les uns envers les autres, car sur le terrain nos ennemis n’en feraient jamais preuve. Nous n’étions plus des enfants, mais des guerriers. Nous n’étions plus des humains, mais des machines de combat.
J’ai 16 ans. Me voici soldat.
C’est en grandissant que je compris quel était notre véritable mission et qui était réellement Kaito. Recruté durant notre enfance, nous étions tous des orphelins, des enfants que le destin avait jugés indignes. Kaito est ce que le gouvernement appel un Recruteur. Ils parcourent les orphelinats des cinq mers à la recherche d’enfants avec un potentiel lattant extraordinaire pour les entraîner afin qu’ils puissent un jour rejoindre le la marine en tant matelot. Nous avons grandi dans la marine, dans un secteur fréquenté uniquement par notre division. Notre vie était un enfer et à chaque instant de notre existence, nos formateurs se faisaient un malin plaisir de nous le rappeler. Nous n’étions plus des humains, mais de vulgaires objets destinés à devenir des machines à tuer.
Lorsque j’étais toujours en formation, un grand conflit éclata entre les îles jumelles Winter Heaven et Summer Town dans North Blue. Alors que Summer Town était fidèle au Gouvernement, Winter Heaven avait brisé ses liens en pactisant avec la Révolution. Ces deux îles n’étaient pas d’une renommée très grande, mais elles constituaient des pions importants dans l’échiquier du Gouvernement, un conflit de longue durée n’était donc pas dans leur intérêt. À cette époque, ma formation n’était pas encore complète. Les autres et moi, ceux formés par Kaito et ses hommes, venions tout juste de recevoir notre promotion au rang de commandant. Bien que nous ne fassions toujours pas officiellement partie de l’organisation, nous avions fait nos preuves en réussissant les tests d’admission. Maître Kaito n’était plus. Il était mort assassiné par les révolutionnaires dans les évènements qui avaient contribué à déclencher la guerre. Bêtement, j’avais cru que cela changerait notre situation, que quelqu’un de plus clément prendrait la relève de l’organisation pour changer les choses. Mais non…Celui qui prit sa place était de la même trempe que notre ancien mentor, sinon encore pire que lui. Les prières que nous récitions à son honneur étaient encore plus nombreuses, comme s’il désirait nous transformer en une armée de fanatique.
Les hautes instances de la Marine ne voulait pas nous envoyer sur le font, elle considérait les apprentis comme sans expérience et trop « immature » face à un tel danger. Mais notre maître ne voyait pas la chose de la même manière. Dans sa grande et noble vision des choses, pour lui, le meilleur moyen pour que nous puissions progresser plus rapidement, c’était la violence. Normalement, à cette étape-ci de notre parcours, Kaito aurait commencé à nous faire combattre les uns avec les autres pour forger de puissants liens entre nous, mais également pour nous apprendre l’expérience du combat. Mais son remplaçant…Il décida de nous envoyer directement sur le font, en guise d’unité spéciale, pour nous faire vivre les horreurs de la guerre. « Vous en ressortirez plus fort. » disait-il sans cesse. Akio, Rukia et moi combattions coude à coude, sur un même front. Devant nous, l’adversaire était nombreux et monstrueux. N’en demeurait pas moins que je devais tuer pour la première fois de ma vie. Oui j’avais déjà combattu, mais jamais lorsque l’enjeu avait été ma survie. Mais, comme Kaito me l’avait enseigné, je ne devais pas avoir peur, je n’avais pas peur. Sur notre front, les escouades du Cipher Pol prenaient secrètement à revers les troupes ennemies pour assister les troupes de la Marine qui combattait directement l’ennemi. Bien que bien moins nombreux qu’eux, nous nous battions sans relâche, toujours en essuyant un minimum de pertes. J’étais apprenti, j’avais 16 ans, mais déjà j’étais un assassin…déjà j’étais entouré par l’horreur de la guerre.
Lorsque la poussière des premiers affrontements retomba, je pus constater les dégâts. Des morts, il y en avait des centaines…Et pas seulement dans le camp adverse. Fouillant le champ de bataille avec mes coéquipiers pour trouver des blessés ou des ennemis à interroger, nous trouvâmes à la place, plusieurs de nos compatriotes morts, le corps lacéré de toute part par les armes de nos ennemis. Parmi les morts, il y avait Mizuki, Narcis et Raiken, trois apprentis en formation du Cipher Pol, tout comme moi. Ils étaient un peu plus jeunes que moi, ayant rejoint notre division une année et demi après nous. Pauvre eux. On m’avait appris à refouler mes émotions et à ne pas en éprouver carrément. Mais là…ça avait été trop. En plein milieu de ce champ de mort, je m’étais écroulé, en larme. Mes supérieurs eurent tôt fait de me corriger, un coup de fouet par larme que j’avais versée, une prière à l’intention de notre mentor à chaque cri que j’avais échappé durant la torture. L’émotion n’avait pas sa place. Elle me rendait faible.
J’ai 20 ans. Me voici Sergent.
La guerre s’était rapidement terminée. En quelques semaines, grâce aux efforts conjoints de la Marine et des agents du Gouvernement, le mouvement de révolution de Winter Heaven avait été arrêté. Bien vite, la vie du reprendre son cours normal. Enfin, ce qui était normal pour moi et les autres apprentis. Moins d’une année après cette guerre, moi et deux camarades furent catapultés vers un examen de sélection pour être Colonel. Si nous réussissions, nous ne serions plus des apprentis, nous ne répondrions plus aux ordres du Maître, nous serions de véritable agent confirmé. Mais si nous échouions, nous aurions droit à son courroux. Cet examen bouleversa ma vie…
Nous étions parfaitement prêt, entraîné depuis nos enfance pour cet instant. Le premier test consistait en un examen théorique, une véritable plaisanterie que je réussis haut la main. Le deuxième test était une simulation de mission où, parfois seul ou en équipe, devions réagir à des situations de crises inspirées de véritable mission qu’avait effectué des agents. Encore une fois, je réussis sans encombre et sans difficulté. Mes camarades avaient aussi réussi haut la main. Nous étions l’élite de la prochaine génération d’agent. Mais lorsque vint finalement la dernière épreuve, un test de combat, j’eus une grande surprise. J’étais là, au centre de l’arène et en face de moi se trouvait Akio. Partenaire depuis nos cinq ans, nous étions maintenant adversaires et ennemis. J’étais prêt, tout comme lui. Depuis toujours, au cours de notre entraînement, nous nous étions rapproché, mais seulement pour nous faire comprendre la dure réalité de la trahison. L’amitié n’avait pas sa place dans le cœur d’un guerrier…Et je le compris à mes dépends. Aussi peu humain étais-je devenu à cause de ma formation, Akio était tout de même mon ami…Je le considérais comme tel depuis toujours. Mais en cette journée, lors de ce fatidique affrontement, les choses changèrent. L’un contre l’autre, nous échangions des coups comme jamais. La dernière partie humaine en moi me retenait, me permettait de retenir mes coups, car, après tout, c’était un ami que j’avais en face de moi, pas un ennemi. Mais Akio ne faisait pas la même distinction que moi. Il était la fierté et l’emblème même de noter maître. Pour lui, je n’étais plus rien. Ses coups étaient puissants et douloureux. D’un coup de Shigan, l’inévitable se produit, mon destin fut scellé…J’avais senti son doigt s’enfoncer dans ma chair, brisant la force de mon fruit du démon sans aucune difficulté.
Malgré ma défaite, on m’avait tout de même nommé Sergent Chef, tout au bas de l’échelle dans la marine, parce que j’avais bien combattu et que j’avais fait preuve de résultats exceptionnels dans les deux autres épreuves. Akio, en tant que grand gagnant, obtint d’office un poste plus important au sein de l’organisation, dans un échelon supérieur au miens. Je me sentais misérable face à ma défaite, j’avais laissé tomber le maître.
Dans les années qui suivirent, j’appris à accepter ma situation. Je me mis à redoubler d’effort pour prouver à tout le monde que je n’étais pas un moins que rien. Dans les années qui suivirent, je perfectionnai mes techniques, en particulier mon fruit du démon. Bien que j’aie rompu tout contact avec Akio et Rukia, je restais informé sur leur vie et leur progression. Akio avait beau être un petit génie dans sa jeunesse, en grandissant je me suis rapproché de lui au point de devenir son égal. Au fil des années, je gravis les échelons, me hissant de plus en plus haut dans la Marine, prouvant quotidiennement à mes supérieurs et à ceux qui m’avaient humilié dans ma jeunesse que je ne m’étais pas écrasé, que je m’étais relevé plus fort que jamais…Et que je m’approchais dangereusement d’eux...Pour avoir leur tête.
J'ai à présent 27 ans. Me voici Vice Amiral.
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